Visage d’homme
911 Visage d’homme 55X46 Les Pavillons sous Bois 14 4 2008 (oil on linen)
Son visage avait subi tout ce qu’on homme franc et loyal peut subir. La brume et la nuit avaient donné à ses traits une expression qui ne laissait supposer aucune trahison. L’ivresse avait laissé un trouble auquel aucun adolescent ne peut échapper. Et avec les années plus rien ne pouvait le détacher de ce qu’il ne pouvait pas oublier. Durachta, 2013
A travers la vie
934 A travers la vie 81X100 Les Pavillons Sous Bois 27 10 2008 (oil on linen)
Où sont-ils les enfants ? Pourquoi ne les reconnaît-on plus ? Pourquoi leurs yeux se sont-ils effacés du regard de la mère ? La vie n’est pas de la magie. Le jour se lève. Puis les heures passent pour retenir tous ces gens assoiffés de plaisir et quand le soir tombe, il ne reste qu’un filet de clarté qui soudain disparaît dés que toutes les paupières se ferment. Durachta, 2013
Sous l’arbre
958 Sous l’arbre 90X130 LES PAVILLONS SOUS BOIS 3 08 2009 (oil on linen)
L’arbre quand on le regarde, nous rappelle qu’on vit. Et que sans lui, la vie serait aussi dénuée de sens que si on craignait d’avoir sa propre existence à la merci de tous ceux qui peuvent la détruire pour en faire un grand feu de joie. L’arbre qui s’est élevé tant de fois devant moi m’a appris à sourire et je lui dois de la reconnaissance. Durachta, 2013
Les gens oubliés
1033 Les gens oubliés 81X100 Les Pavillons Sous Bois 7 12 2010 (oil on linen)
Ils marchaient avec le soleil. La terre était pour eux le bonheur. Ils étaient debout près d’un puits rempli de ce trésor, qu’est la vie. Que les jours soient sombres ou pluvieux, rien ne cessait pour eux. La terre ne les chassait pas, elle leur apportait la nourriture pour résister aux attaques les plus cruelles. Durachta, 2013
L’enfer
1034 L’enfer 81X100 Les Pavillons Sous Bois 7 12 2010 (oil on linen)
Elle ne savait pas si elle pouvait retrouver son chemin à travers toutes les menaces qui lui étaient adressées. Elle cherchait un abri pour ne pas mourir et continuer à croire qu’elle pouvait vivre comme ceux que rien n’atteint parce que ce qui les éblouit, les réjouit autant que s’ils avaient réussi à être des monstres. Alors elle s’est cachée derrière un mur construit par un tyran. Durachta, 2013